Je n'ai pas été chanceux, car les deux albums suivants, Guero et The Information, m'ont presque laissé entièrement de marbre (malgré les très efficaces E-Pro, Girl et Think I'm In Love).
Beck et moi, c'est donc pas mal up and down. J'aime beaucoup ou pas vraiment.
Avec Modern Guilt, mes attentes n'étaient pas très élevées, mais je n'avais pas abandonné pour autant. Je me suis procuré l'album et je l'ai écouté en espérant apprécier. Eh bien, je dois dire que j'ai aimé du début à la fin. Ça débute en force avec Orphans, une chanson somme toute bien simple, mais avec des ritournelles mélodiques accrocheuses. Arrive ensuite la contagieuse Gamma Ray, que j'ai très hâte d'entendre live le 2 octobre prochain au Aragan Ballroom.
Chemtrails est à la limite d'être endormante, mais Beck sait nous accrocher juste à temps. La pièce-titre nous propose de petits beats de synthé et un riff de guitare simple et cool. J'adore. Après quelques passages moins excitants, le chanteur revient en grande force avec l'avant-dernière pièce, Profanity Players, un brulôt addictif qui ne peut laisser personne indifférent.
Beck en a encore "dedans", laisssez-moi vous dire. Et c'est bien tant mieux.
Chansons à écouter: Orphans, Gamma Ray, Profanity Players
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