samedi 9 mai 2009

On dira ce qu'on voudra

L'histoire de Bernard Lachance ne laisse vraiment pas indifférent. Que l'on critique sa musique ou sa façon de faire, reste que le chanteur a énormément fait parler de lui ces derniers jours. Je ne veux évidemment pas relancer le débat sur la pertinence de sa démarche (allez lire les commentaires de Rizzz et MichelQ dans mon précédent sujet pour ça). Mais n'empêche que je trouve ça drôle que tout le monde tienne à se prononcer sur le sujet.

Le meilleur exemple est lorsqu'on navigue sur Cyberpresse. Pas moins de six chroniqueurs/journalistes de ce média en particulier ont écrit un ou plusieurs papiers sur Lachance (et j'en oublie peut-être!). Patrick Lagacé, Alain Brunet, Hugo Dumas, Richard Therrien et Stéphane Laporte (sans compter une entrevue d'Émilie Côté) en ont tous parlé. Aujourd'hui, c'est au tour de Nathalie Petrowski d'y aller de son opinion (fait-elle exprès pour toujours être quelques jours en retard sur tout le monde?). Vraiment, Bernard Lachance a atteint son objectif: faire parler de lui, en bien ou en mal.

4 commentaires:

Hope-Folly a dit…

Tous les chroniqueurs de La Presse, ou presque, ont passé sur le sujet. Certains deux fois plutôt qu'une.

N'empêche que Cyberpresse , c'est un seul média. Dire que LES médias «at large» en beurrent autant, je ne serais pas prête à dire ça...

Raphaël a dit…

Pour moi, tous les médias se résument à la Presse.

Non sérieusement, c'est pas mal le seul médias québécois que je consulte fréquemment sur le web. (un peu de Rue Frontenac ici et là également)

Désolé pour le Devoir.

Hope-Folly a dit…

Haha!
Non, je ne voulais pas dire ça comme ça.

Mais seulement que certains étirent exagérément la sauce. Ça doit être ça, le problème, quand on a trop de pages à remplir...

Raphaël a dit…

Corrige-moi si je me trompe, la folie Bernard Lachance sur Cyberpresse a été davantage sur le web que dans le journal comme tel. La plupart de ces chroniqueurs en ont parlé sur leurs blogues, donc ils n'étaient pas obligés de remplir des pages.